Les colères feintes de la droite strasbourgeoise
La séance du conseil municipal de ce lundi 23 juin a été par moment hallucinante. Dès le début du conseil Mme Keller et M. Grossmann ont émaillé la séance de remarques concernant la gestion de la ville en réponse à la publication de l'audit.
S'en est poursuivit une longue diatribe de Mme Keller contre l'inaction de notre majorité suite à la fermeture programmée du site d'Altadis, achetée par Imperial Tobbaco, et la suppression de 227 emplois. Ce faisant elle oublie que c'est son camp politique qui est avant tout responsable de cette situation. En effet cet enième plan social, traduit l'emballement du nouveau capitalisme financier qui n'accorde aux hommes qu'une valeur marchande. Privatisation des profits et socialisation des pertes...
Puis non seulement le tandem a tenté de redorer son bilan, qui soit dit en passant a été sévèrement sanctionné par les strasbourgeois, mais surtout il a montré une arrogance démesurée sur l'absence prétendu de démocratie locale. Un jeune loup de la droite strasbourgeoise a même dit qu'il n'y avait eu aucune réunion dans les quartiers depuis l'élection du 16 mars, alors que celles-ci s'enchainent dans les quartiers.
Mais quel silence assourdissant des jeunes loups et de la vieille garde, lorsqu'on évoqua la question de l'Aubette. En effet que dire lorsque l'on sait que la municipalité sortante a accordé un bail emphytéotique à un groupe privé (pour un loyer annuel total de 15000 euros) qui apporte chaque année plus de 3 millions d'euros à celui-ci. Bradage du patrimoine, privatisation des profits, et les citoyens strasbourgeois continueront à payer...
S'en est poursuivit une longue diatribe de Mme Keller contre l'inaction de notre majorité suite à la fermeture programmée du site d'Altadis, achetée par Imperial Tobbaco, et la suppression de 227 emplois. Ce faisant elle oublie que c'est son camp politique qui est avant tout responsable de cette situation. En effet cet enième plan social, traduit l'emballement du nouveau capitalisme financier qui n'accorde aux hommes qu'une valeur marchande. Privatisation des profits et socialisation des pertes...
Puis non seulement le tandem a tenté de redorer son bilan, qui soit dit en passant a été sévèrement sanctionné par les strasbourgeois, mais surtout il a montré une arrogance démesurée sur l'absence prétendu de démocratie locale. Un jeune loup de la droite strasbourgeoise a même dit qu'il n'y avait eu aucune réunion dans les quartiers depuis l'élection du 16 mars, alors que celles-ci s'enchainent dans les quartiers.
Mais quel silence assourdissant des jeunes loups et de la vieille garde, lorsqu'on évoqua la question de l'Aubette. En effet que dire lorsque l'on sait que la municipalité sortante a accordé un bail emphytéotique à un groupe privé (pour un loyer annuel total de 15000 euros) qui apporte chaque année plus de 3 millions d'euros à celui-ci. Bradage du patrimoine, privatisation des profits, et les citoyens strasbourgeois continueront à payer...